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Qui eût songé autrefois à louer l’Angleterre d’être un pays où l’homme est encore une personne[2][2] Mauriac n’était pas très anglophile. Dans un bloc-notes du 6 novembre 1954, il qualifiera les Anglais d’ « amis fidèles, mais amis aux dents longues » (DBN, p. 113). ? Le peuple anglais n’a pas perdu son âme pour gagner l’univers[3][3] Allusion biblique : « Que sert donc à l’homme de gagner le monde entier, s’il ruine sa propre vie ? » (Mc, 8, 36)..
François Mauriac[4][4] Fac-simile de la signature de Mauriac..
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